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from CRANE lab

« Rencontres Acousmatiques 2025 » linktr.ee/cranelab When Sound Moves : Reflections on Multichannel Practice Manolis EKMEKTSOGLOU manolisekmektsoglousite.wordpress.com

Composing for 32 channels is a challenging task for composers of all experience levels. While creating the piece, I realized that several factors had not been fully taken into account. For example, some sonic trajectories did not work as effectively as I had anticipated based on the diffusion map. From what I observed in other composers’ works, it would have been more effective to use sounds that are easier to localize, such as noise, for certain spatial movements.

On the other hand, some moments were even more successful than planned. Around the middle of the piece, the bass became more prominent than I had imagined, and its intensity caused objects in the diffusion space to vibrate, enhancing the overall perceptual effect.

The round table discussions provided much food for thought, including references to historical precedents such as Xenakis’s Polytopes, which explored immersive multichannel sound environments. Jean Voguet’s and the participants’ insights on how sound travels in a 3D space, especially in rooms with speakers at varying heights, were particularly enlightening. I gained a much clearer understanding of how sound reflects in these spaces, how a piece is shaped by certain sound types and what can undermine it, and how crucial different diffusion strategies are for highlighting specific elements within the panorama.

These considerations will be crucial for future multichannel compositions, where precise spatialization is as important as the musical material itself.

 


Quand le son bouge : réflexions sur la pratique multicanale

Composer pour 32 canaux est un défi pour les compositeurs, quel que soit leur niveau d'expérience. Durant la création de mon œuvre, je me suis rendu compte que plusieurs facteurs n'avaient pas été pleinement pris en compte. Par exemple, certaines trajectoires sonores ne fonctionnaient pas aussi efficacement que je l'avais prévu en utilisant le schéma de la configuration du dispositif. D'après ce que j'ai observé dans les œuvres d'autres compositeurs, il aurait été plus efficace d'utiliser des sons plus faciles à localiser, tels que des bruits, pour certains mouvements spatiaux.

D'un autre côté, certains moments ont été encore plus réussis que prévu. Vers le milieu de la pièce, la basse est devenue plus présente que je ne l'avais imaginé, et son intensité a fait vibrer les objets dans l'espace de diffusion, renforçant ainsi l'effet perceptif global.

Les tables rondes ont donné matière à réflexion, notamment grâce à des références et des précédents historiques tels que les Polytopes de Xenakis, avec lesquels il explorait les environnements sonores multicanaux immersifs. Les réflexions de Jean Voguet et des participants sur la façon dont le son se propage dans un espace 3D, en particulier dans des pièces équipées d'enceintes à différentes hauteurs, ont été particulièrement éclairantes. J'ai acquis une compréhension beaucoup plus claire de la manière dont le son se réfléchit dans ces espaces, de la manière dont une œuvre est façonnée par certains types de sons et de ce qui peut la compromettre, ainsi que de l'importance cruciale des différentes stratégies de diffusion pour mettre en valeur des éléments spécifiques au sein du panorama.

Ces considérations seront cruciales pour les futures compositions multicanales, où une spatialisation précise est aussi importante que le matériau musical lui-même.


#cranelab #ManolisEkmektsoglou #acousmatique #MusiqueAcousmatique #MusiqueÉlectronique #MusiqueMulticanale #3Daudio #acousmatic #AcousmaticMusic #ElectronicMusic #MultichannelMusic

 
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from CRANE lab

« Rencontres Acousmatiques 2025 » linktr.ee/cranelab Variation as Volume Yuko KATORI yukokatori.com

FR ci-dessous
Pieces created for multichannel, when diffused in certain devices, offer an experience of particular sound immersion for me. It conveys a sound in a certain three-dimensional way. Can that be the same with any sound ? I believe that it depends on the composition. And rather, the quality of sound materials used for composition, and how it is spatialized. When that is successful, then we hear the volumiphony. I also think that multichannel experience depends on the device itself. And the space that is placed, since the resonance of the sound differs depending on the space. Most composers work with, or think about, a particular placement of the speakers. This means that the kind of 3D sound, in fact, when composed, that can become polyphony-geophony, depends on the composers’ ears. So what do composers imagine when composing for multichannel ?

My own creation in 2025

I composed my first 32 channel composition in early 2025, and diffused at « Rencontres Acousmatiques » at CRANE lab in July in the same year. The piece is called CONCERTINO for the Stari Most, which is based on a field recording around the Mostar bridge in Bosnia. The first draft of the piece was 16 channels, and then it was reworked for 32. At that moment, the sound world of the piece naturally extended in terms of dimension, and became more spatialized. As the word « primary forest » was discussed in the round table in July, it is interesting to adopt that thought in creating a piece. And surely I am in the process of applying it to the current project.

 


Expérience multicanale & Volumiphonie

Les pièces créées pour le multicanal, lorsqu'elles sont diffusées sur certains dispositifs, m'offrent une expérience d'immersion sonore particulière. Ils transmettent le son d'une certaine manière tridimensionnelle. Est-ce que cela peut être le cas avec n'importe quel son ? Je pense que cela dépend de la composition. Et plutôt de la qualité des matériaux sonores utilisés pour la composition, et de la manière dont ils sont spatialisés. Lorsque cela fonctionne, nous entendons alors une volumiphonie. Je pense également que l'expérience multicanale dépend du dispositif lui-même et de l'espace dans lequel il se trouve, car la résonance du son diffère selon l'espace. La plupart des compositeurs travaillent avec, ou réfléchissent à, un placement particulier des haut-parleurs. Cela signifie que le type de son 3D, en fait, lorsqu'il est composé, peut devenir une polyphonie-géophonie selon les oreilles des compositeurs. Alors, qu'imaginent les compositeurs lorsqu'ils composent pour le multicanal ?

Ma propre création en 2025

J'ai composé ma première composition en 32 canaux au début de l'année 2025, et je l'ai diffusé lors des « Rencontres Acousmatiques » au CRANE lab, en juillet de la même année. La pièce s'intitule CONCERTINO for the Stari Most, et elle est basée sur un field recording autour du pont de Mostar en Bosnie. La première ébauche de la pièce comportait 16 canaux, puis elle a été retravaillée pour en compter 32. À ce moment-là, l'univers sonore de la pièce s'est naturellement élargi en termes de dimension et est devenu plus spatialisé. Comme le terme « forêt primaire » a été abordé lors de la table ronde en juillet, il est intéressant d'adopter cette idée dans la création d'une pièce. Et je suis bien sûr en train de l'appliquer à mon projet actuel.


#cranelab #YukoKatori #acousmatique #MusiqueAcousmatique #volumiphonie #MusiqueMulticanale #3Daudio #acousmatic #AcousmaticMusic #volumiphony #MultichannelMusic

 
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from Jadoo

کار با PDF در لینوکس (CLI Tools)

کار با فایل های pdf در سیستم‌عامل ویندوز یا مک احتمالا خیلی راحت باشد. البته به شرطی که بخواهید از ابزار های تجاری موجود استفاده کنید. ابزار هایی مثل adobe acrobat ، PDF Exchange یا Foxit PDF Editor pro و ... . اما واریش و کار با این ابزار ها عموما در لینوکس امکان پذیر نیست از طرفی شما وابسته هستید به این ابزار ها و امکانات آنها. اما در لینوکس و کلا سیستم های آزاد هم شما ابزار هایی برای کار با pdf ها دارید. در این پست دستورات مختلفی که در طی زمان با اون ها کا رمیکنم رو معرفی می کنم.

میخوام همه‌ی صفحات رو بچرخونم

برای این کار ابزار qpdf میتونه کمک کننده باشه:

qpdf sample.pdf --rotate=90 -- output.pdf
 
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from CRANE lab

l'oreille en 3D

« Rencontres Acousmatiques 2025 » linktr.ee/cranelab Variation as Volume Gilles MALATRAY desartsonnantsbis.com

Suite aux dernières « Rencontres Acousmatiques 2025 » du CRANE lab, des écoutes et discussions, je remets à nouveau l'écoute associée aux paysages en question.

Écouter nous demande de nous inscrire dans un espace donné, où gauche/droite, devant/derrière, dessus/dessous, proche/lointain, mobile/immobile, font de notre oreille un outil sollicité dans tous les sens, et parmi tous les sens, pour entre autre nous situer dans un espace-temps auriculaire.

Malgré la directivité affichée de nos oreilles, pavillons pointés vers l'avant, alors que d'autres espèces vivantes possèdent des organes plus mobiles, directives, orientables, notre sphère géographique d'écoute se déploie dans de multiples dimensions, quasiment à 360°.

Les sons nous situent dans l'espace, la cloche, la fontaine, la route, la voix ferrée... Ils nous donnent des échelles de grandeur, de distance, des axes, des horizons plus ou moins dessinés. Ils nous situent aussi dans le temps, le bus ou le train qui passe, la sirène du premier mercredi du mois, la volée de cloches de l'Angélus, l'épicerie ambulante … Ces sons spatialisés, ces aménagements, objets ou véhicules, rythment et dessinent des formes d'architectures sonores, nous donnant à la fois des marqueurs, des limites, des plans qui nous renseignent notamment sur la qualité ou la non-qualité des espaces acoustiques ambiants, sur la lisibilité ou la perception chaotique et brouillée de ces derniers. Ces signaux sonores sont également représentatifs d'espaces sociaux partagés.

Je me souviens, lors d'un travail sur les paysages sonores jurassiens, d'un habitant d'un petit village qui me racontait que, aux beaux jours, lorsqu'il n'entendait pas sa voisine ouvrir ses volets tôt le matin, il s'inquiétait de la savoir bien-portante, voire bien vivante. Des sons endogènes signalaient l'ouverture matinale du rideau de fer de l'épicerie-bureau de tabac-dépôt de pain-bar, comme un signal positif, qui faisait entendre un village qui se réveillait, et restait bon an mal an en vie.

De la forêt au village en passant par les grands centres urbains, les espaces sonores contextualisent et caractérisent nos espaces de vie, de travail, de loisir. Selon nos connaissances, ou méconnaissances du terrain, ils nous envoient des signaux esthétiques, situés, qui parfois nous font sentir chez nous, parfois participent et/ou accentuent un sentiment de dépaysement, avec ses côtés exaltants, comme avec ses inconforts devant des situations inhabituelles.

L'espace sonore que je qualifierai ici de 3D, multidimensionnel, peut être composé, joué, via des dispositifs électroacoustiques multicanaux, immersifs, mais aussi, et c'est une large partie de mon activité d'arpenteur écoutant, appréhendés à oreilles nues, sans parfois d'autre projet compositionnel que celui de la marche écoutante, du PAS-Parcours Audio Sensible vécu et entendu in situ.

Les espaces acoustiques, esthétiques, ou esthétisés par des oreilles aventureuses, jouent en révélant, ou mettant en scène tous les plans sonores horizontaux, verticaux, en profondeur, qui placent l'auditeur au cœur de ce que je nomme un point d'ouïe, sweat-spot chez nos collègues anglo-saxons. Le lieu point d'ouïe, c'est là où il est bon d'être en tant qu'écoutant, espace construit, aménagé ou non, pour jouir d'une écoute active stimulante. C'est le bon endroit (au bon moment), une forme de kaïros, pour profiter au mieux d'espaces sonores qui dépassent largement les stéréophonies latérales. Au cœur de ces points d'ouïe, on peut percevoir une 3D acoustique préexistante, « naturelle », ou construite de toute pièce par le biais de créations ou d'aménagements sonores. La création sonore associée au field recording, parfois à l'installation, au concert immersif, fera passer le promeneur écoutant vers un statut d'auditeur actif, voire de compositeur, de créateur sonore, utilisant des matières audios collectées sur le terrain. La difficulté de passer par la captation sonore est celle d'une immense réduction spatiale, même avec des systèmes immersifs, ambisoniques ou binauraux, performants. L'oreille capte aisément, même inconsciemment, un espace environnant quasi sphérique, aux frontières mouvantes plus ou moins vastes. Sans compter les stimuli affectifs propres à chacun et chacune. L'écoute d'un enregistrement sera généralement assez, voire très décevante quant à sa restitution spatiale, sensorielle, émotive, même dépassant une stéréophonie somme toute assez limitante. Le jeu de la (re)composition électroacoustique, acousmatique, tentera, avec plus ou moins de bonheur, de redonner de l'air aux sons, de les faire circuler autour de l'auditeur, dans un espace qui élargira celui de la captation. Ici entrent en jeu des dispositifs où la place, le nombre des haut-parleurs, les capacités techniques à diffuser les créations en faisant bouger les sons, et bien sûr l'art de l'artiste à recomposer les ambiances, quitte à déréaliser totalement la situation d'écoute initiale pour en garder plus l'esprit que la véracité. Cette posture esthétique assumée est d'ailleurs très souvent convoquée, dans le sillage de musiciens et créateurs sonores tels Luc Ferrari, Knud Viktor, Hildegard Westerkamp, Brandon Labelle, Max Neuhaus, Peter Cusack, Claude Schryer, Bernard Fort …

Le terrain fournit la matière sonore, des modèles de spatialisation. L'artiste, lui, joue de l'écriture à la diffusion, via des outils de composition et de traitement audionumériques. Il recrée des espaces sonores plus ou moins, voire totalement revisités, en tout cas dans une approche paysagère. De l'écoute in situ à l'écriture audio-paysagère, en passant par sa diffusion, son installation, la boucle est bouclée. L'écoute spatialisée, 3D, reste un champ d'exploration acoustique, artistique, notamment dans les créations environnementales, qui a sans doute encore beaucoup à explorer, à inventer, et à faire entendre.


#cranelab #GillesMalatray #desartsonnants #ArtsSonores #PaysageSonore #acousmatique #MusiqueAcousmatique #acousmatic #AcousmaticMusic

 
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from CRANE lab

« Rencontres Acousmatiques 2025 » linktr.ee/cranelab Variation as Volume Isabelle de MULLENHEIM soundcloud.com/isabelle-de-mullenheim

Au-delà de l’orée est ce moment où on franchit un seuil et où on entre dans un espace intérieur, car il se situe au plus proche de nous. Lorsque qu’on entre en forêt, on est absorbé dans un environnement clos, cerné par des limites tangibles comme la cime des arbres, le sol et les buissons, la délimitation des chemins praticables.

Notre condition d’être humains est soulignée. Beaucoup de choses sont physiquement inatteignables. L’expression « s’enfoncer dans la forêt » souligne une perte de maîtrise, une impuissance due à notre taille et c’est peut-être cette impuissance qui est la condition nécessaire pour acquérir la posture d’écoutant.

Nous nous immergeons dans du flou, de l’indéfini. Beaucoup d’évènements surgissent ou bien sont présents sans direction ou position apparentes. La multiplicité des éléments présents (sonores ou lumineux) nous surprend. L’oreille primitive se met en action et nous révèle cet univers imprévisible.

La forêt primaire est un tissu composé d’une trame, une constante, sur laquelle viennent se greffer des motifs fugitifs à l’image d’une broderie éphémère. Malgré les items disparates, tout bouge ensemble, tout élément est conscient de l’existence de l’autre.

Ma préoccupation se situe au-delà du réalisme des sons, de ce qu’ils décrivent ou de la préoccupation écologique. Il y a un délitement certain de la forêt primaire telle qu’elle a pu exister. Elle est devenue un lieu utopique, mythique. Un lieu que l’on peut rêver.

Je rêve donc un espace constitué de masses différentes, de transparence ou d’opacité, d’impacts, de correspondances et de dialogues. Je m’emploie à restituer la dynamique de ce lieu. La volumiphonie rend compte de la diversité des points de vue et du mouvement de ces masses. On s’imprègne de ces mouvements afin de les ressentir, car il n’y a plus de position fixe de spectateur mais une multiplication des placements. Les sons nous traversent autant qu’ils se tiennent autour de nous.

À mon sens, l’écoute n’est pas une analyse mais fait appel à la perception, à un laisser-faire ou un laisser-aller. La perte de contrôle est, je crois, essentielle à l’appréhension de l’œuvre acousmatique dans toutes ses dimensions. Je conçois donc mes compositions comme des lieux où on s’oublie en tant qu’être humain et dans lequel on devient des êtres vibratoires réagissant à ce qui est proposé, de manière physique.

Par ailleurs, même s’il y a une implication physique de notre corps, en travaillant le sonore, nous avons toujours été dans une réalité virtuelle, ce médium étant impalpable par essence.

La volumiphonie est un moyen de penser et de mettre en œuvre cette virtualité de manière précise et directe.

Penser une composition multicanale, dans ce dispositif, ce n’est plus être uniquement dans la linéarité du temps et la géométrie d’un espace défini mais c’est être prêt à transformer l’espace et le temps à tout moment, à se situer dans une sorte d’éclatement de l’œuvre afin de laisser réagir les sons les uns avec les autres dans un environnement élargi et changeant. Il me semble que ce dispositif engendre des œuvres organiques.


#cranelab #IsabelleDeMullenheim #acousmatique #MusiqueAcousmatique #volumiphonie #MusiqueMulticanale #3Daudio #acousmatic #AcousmaticMusic #volumiphony #MultichannelMusic

 
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from El blog de Aetherius Eldritch


 
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from 💭 where are you taking me?

It's been a while, but I'm still motivated to write. The last few days have been quite busy with personal matters, and I haven't been sure which topic to pick next. I have a list of subjects in my notes, but I'd like to spend more time researching most of them.

I'd like to share a thought on habits with you today. This might become a short series on my blog.


I think this is from James Clear's “Atomic Habits” and it helps me a lot to start and stick with some of my habits. The idea is to imagine what will happen if you stick with your habit, or if you skip your habitual action.

An easy example: If I do the dishes now, I'll be in a good mood the next morning when I walk into the kitchen and see that everything is nice and clean. or If I don't do the dishes now, the first thing I'll see when I walk into the kitchen the next morning will be a pile of stuff/work.

This simple thought often nudges me to just do the work right away. The second variant probably works better because avoiding the negative carries more weight than the positive gain. Search for 'negativity bias' if you want to learn more about it.

That's a wrap! Do you think this will work for you too? I hope you enjoyed today's short piece, and I wish you a pleasant day.

#habits #selfimprovement #motivation #lifehack #routine #negativitybias #jamesclear

 
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from The Rose Garden

Phaseolus polystachios is a perennial bean vine, native to the so-called Eastern United States. It's in the same genus as most of the beans eaten here. Black beans, pinto beans, kidney beans, cannellini beans, navy beans, small red beans, great northern beans, and many others are all varieties of a single species, Phaseolus vulgaris, which isn't native or perennial here. Neither are Lima beans (Phaseolus lunatus), a species that thicket beans are much more closely related to. Or scarlet runner beans, Phaseolus coccineus, for that matter. If I'm reading this right, there are 9 phaseolus species actually native to the lower 48, and of those, only thicket beans can be found on the East coast. The rest, like delicious tepary beans, are all out west. There are also a few non-Phaseolus edible legumes native to this coast though, of varying tastyness and difficulty of preparation. For instance, Apios americana (potatoey tubers), various Strophostyles sp. (eat like a green bean), the peanut-like Amphicarpaea bracteata, the very dubiously edible Lupinus perennis, and perhaps best of all, Desmanthus illinoensis (like flax but must be cooked a little).

We know from archaeological sites that indigenous people ate thicket beans here long, long ago. There's even evidence they were in the process of being domesticated, until the already-very-domesticated vulgaris finally got traded this far north of it's origin and caught on instead. And, you can find countless sources online today proclaiming that it's edible, including the handful of nurseries selling the plant. What you can't find though, is a single freaking recipe! The closest I've gotten is this Permies thread saying it was too bitter and this youtube video saying it becomes delicious in only 10 minutes. Word is, there are folks out there trying to domesticate them again today, and even cross them with Limas.

You'll notice from pictures online that there seems to be 2 main versions of the bean, a jet black one and a brown mottled/speckled one. My hypothesis is that these versions cook up veryyyyy differently. Mine are the black kind, purchased from Prairie Moon back in 2020. I've been trying to figure out how to actually EAT them since 2021, completely unsuccessfully. Until now. Here's what I did.

A sufficient (but probably improvable) method to prepare thicket beans

  1. Collect the beans right before the pods explode. Preferably do so in a way that leaves the old pods on the vine, so our little friends have a nice place to build their overwinter nests. A hand holding a glass jar, in the background there's a tangle of vegetation. Some of the vegetation are bean pods on vines, growing all through everything else. The jar has some small, shiny black beans in it. Their sizes are quite variable.
  2. Soak the beans, for 24 hours, in water with salt and finely sifted wood ash. Baking soda would probably suffice. Change out the liquid every 8 hours. You'll notice that some of the beans begin to plump up and lighten in color. Their extremely tough seed coats have been penetrated. A metal pot containing a small amount of dark beans and a huge amount of water. A few of the beans are lighter in color and much more plump.
  3. Boil the beans in a fresh change of water (no ash this time, just salt) for 30 minutes. They're even more, and more of them, light and plump now. If you inadvisably taste them at this stage, they'll be bitter. This is an indicator of various toxins still present. A small plastic strainer containing smallish, darkish beans. Their colors and sizes are quite variable but they're all fairy plump and they're all some shade of dark red.
  4. Pressure cook the beans in another change of salty water for another half hour. At this stage they should all look pretty much alike, and very much like kidney beans. They should have skins with just a bit of bite, creamy interiors, and they should not be bitter at all! A small plastic strainer containing medium sized red beans. They're vaguely kidney shaped and colored, and mostly uniform. Some of the beans have burst slightly.
  5. Now just include them in your cooking however you would use canned beans. I made some faux “baked bean” sort of thing. A metal pot of what appears to be baked beans, with a spoon holding up a scoop of them. They're in a thin, dark, sweet looking gravy.

    Notes:

    Make sure you use a LOT of water each step! It takes a lot to leach all the bad stuff out. You'd think all this intense processing would reduce them to absolute mush, right? Luckily (or unluckily) the skins are easily tough enough to withstand all this pretty intact. Even if you release your pressure cooker's pressure really fast.

 
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from Software-Werkzeuge

Per Zufall bin ich über das Programm EncryptPad gestolpert. Damit lassen sich ganz normale ASCII-Dateien bearbeiten und verschlüsselt speichern.Zur Speicherung stehen zwei Formate zur Verfügung: ein internes Format und ein GPG-kompatibles Format.

Das Programm 'encryptpad' gibt es für die Plattformen Linux, MacOS und Windows, aber leider nicht für mobile Geräte

Warum der ganze Aufstand

Bei all den tollen Password-Managern und Notizenverwaltungstools kommt es im täglichen Betrieb regelmäßig vor, dass man schnell ein paar Angaben in eine Textdatei kopiert und ablegt. So lange das nur Kochrezepte und ähnliche Notizen sind, ist das unkritisch. Aber selbst bei Telefonnummern und Links aus der letzten Recherche fängt die Grauzone an. Ganz spannend wird es, wenn man auf die Schnelle die Kommandozeile für den SSH-Aufruf eines lokalen Servers ablegt oder die Credentials einer neuen Webportalanmeldung zwischenspeichern will, weil der Password-Manager gerade nicht passt.

Und schon liegen wichtige Daten auf irgend einem Cloud-Verzeichnis. Wenn man Glück hat, ist es die eigene Nextcloud eines vertrauenswürdigen Servers. Oder das /home-Verzeichnis des eigenen Rechners (Eigene Dateien für die Fans des Redmont-OS)

Mein Einsatzplan

Überall da, wo ich mir – gerade beim Entwicklen – schnell mal Notizen mit dem Texteditor mache, werde ich mir angewöhnen, den EncryptPad zu nutzen. Gerade die ASCII-Snippets, welche schnell mal nebenbei anfallen, enthalten immer mal wieder, Passwörter, Tokens und ähnliche Geheimnisse im Klartext.

Quelle

EncryptPad gibt es beim Autor Evgeny Pokhilko oder auf GitHub. Im Ubuntu App Centre ist es auch als Snap-Paket enthalten. Unter Ubuntu habe ich den direkten Weg über das Repository genutzt:

sudo add-apt-repository ppa:evpo/main
sudo apt update
sudo apt install encryptpad encryptcli

Im Readme des Github-Repository steht alles Notwendige: Begründung, Bedienung, Installation und Bezugsquelle.

 
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from Jean VOGUET Composer

 

 

La poïétique du volumiphonique

EN below

Pour déterminer et superposer jusqu’à l’infinitésimal l’espace multicanal des masses sonores volumiques dans une œuvre 3D, une approche rhyzomatique qui : – se réfère aux dimensions des géométries complexes des espaces multidimensionnels ; – prend en compte les multiples points d’ouïe définis par les déplacements et parcours possibles des auditeurs ; – ajoute le multivolume au multicouche ¹ ; permet d’utiliser à son optimum la spatialité potentielle de chaque son dans toute diffusion, qu’elle soit effectuée par projection ou par “radiation” (HP multidirectionnels).

Après avoir expérimenté et structuré un modèle allocentrique ² durant un an via les possibilités du dispositif volumiphonique 32.2 du CRANE lab, il en résulte la possibilité de combiner/agencer de nombreux polyèdres : tétraèdres, pyramides, pentaèdres, etc. telle une intrication de volumes (des plus petits aux plus grands possibles) dans l’espace 3D de l’œuvre.

La diffusion volumiphonique pourrait devenir une “collision” de vecteurs avec des HP, entités autonomes et mobiles (fixés sur des rails ou sur des drones, etc.), capables : – de modifier les trajectoires de leurs déplacements ; – d’en choisir le moment, la vitesse et la durée ; – d’optimiser leur angle de diffusion en temps réel. Cette vectorisation de la diffusion reconfigurerait non seulement l’espace musical (en champ de probabilités) mais aussi sa temporalité dans un flux continuel d’ajustements algorithmiques où l’auto-organisation siérait.

Autant un tel processus de diffusion sonore me semble porteur de nouvelles découvertes quant à la réactivité des sons, autant la “mécanisation” des déplacements des masses sonores délégués par randomisation ou algorithmisation ne permet pas : – d’exprimer une naturalité, une “vie humaine” dans le travail compositionnel en audio 3D ; – de préserver une ouverture sur l’imprévisible humain.

À mon avis, le désir doit rester au centre de toute écriture quelle qu’elle soit.

Car il ne faut pas oublier que la réceptivité (l’esthésique) d’une œuvre et son “faire” (la poïétique : composer en s’appuyant sur un processus créatif de recherches personnelles), ce sont deux attitudes très différentes.

 


¹ Le compositeur Jean-Marc Duchenne définit le multicouche par “la possibilité de créer des œuvres sonores qui se déploient dans l'espace réel, avec des différences de distance et de proximité (comme dans une forêt), plutôt que d'en projeter une image sur la surface (comme dans une bulle)”. ² Approche de spatialisation décentrée, qui prend en compte la diversité des points d'ouïe dans l’espace. Elle vise à créer une expérience immersive fluide et ouverte à différents positionnements physiques et sensoriels.

 


The poiesis of the volumiphonic

To determine and superimpose the multichannel space of volumetric sound masses in a 3D work down to the infinitesimal, a rhizomatic approach that : – refers to the dimensions of complex geometries of multidimensional spaces ; – takes into account the multiple listening points defined by the possible movements and paths of listeners ; – adds multivolume to multilayer ¹ ; allows the potential spatiality of each sound to be used to its fullest in any diffusion, whether by projection or “radiation” (multidirectional speakers).

After experimenting with and structuring an allocentric ² model for a year using the capabilities of the CRANE lab's 32.2 volumiphonic device, the result is the ability to combine/arrange numerous polyhedrons : tetrahedrons, pyramids, pentahedrons, etc., such as an intrication of volumes (from the smallest to the largest possible) in the 3D space of the work.

Volumiphonic diffusion could become a “collision” of vectors with speakers, autonomous and mobile entities (mounted on rails or drones, etc.), capable of : – modifying the trajectories of their movements ; – choose the timing, speed, and duration of their movements ; – optimize their diffusion angle in real time. This vectorization of diffusion would reconfigure not only musical space (as a field of probabilities) but also its temporality in a continuous flow of algorithmic adjustments where self-organization would take hold.

While such a process of sound diffusion seems to me to hold promise for new discoveries regarding the reactivity of sounds, the “mechanization” of sound mass movements delegated by randomization or algorithmization does not allow for : – the expression of naturalness, of “human life” in 3D audio composition work ; – the preservation of an openness to human unpredictability.

In my opinion, desire must remain at the center of all writing, whatever its form.

For we must not forget that the receptivity (esthesis) of a work and its “doing” (poiesis : composing based on a creative process of personal research) are two very different attitudes.

 


¹ Composer Jean-Marc Duchenne defines multilayering as “the possibility of creating sound works that unfold in real space, with differences in distance and proximity (as in a forest), rather than projecting an image onto a surface (as in a bubble)”. ² A decentralized spatialization approach that takes into account the diversity of listening points in space. It aims to create a fluid immersive experience that is open to different physical and sensory positions.

October 2025

#JeanVoguet #volumiphonie #volumiphony #acousmatique #MusiqueAcousmatique #acousmatic #AcousmaticMusic #MusiqueÉlectronique #ElectroniqueMusic #MusiqueMulticanale #MultichannelMusic #3Daudio #réflexion #poïétique #poiesis

 
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from Software-Werkzeuge

Nachdem ich mir jahrelang mit verschiedenen – durchaus brauchbaren – Tools zur PDF-Nachbearbeitung beholfen habe, bin ich vor einigen Wochen über das Online-Werkzeug PDF24 Tools gestolpert. Und ich bin immer noch begeistert, was damit alles geht.

Der einzige, kleine Wermutstropfen ist die Tatsache, dass ich das Tool nur Online benutzen kann, weil es das lokale Tool PDF24 Creator leider nur für Windows gibt. Für mich weniger das Problem als für Anwender mit ausgeprägtem Datenschutzbedarf.

Die Webseite bietet über 30 Bearbeitungsfunktionen, ca. 40 Konverter vom und zum PDF-Format und ein paar Spezialfunktionen bis hin zum Generator für E-Rechnungen im XRechnung- oder ZUGFeRD-Format.

Meine Anwendungsfälle

... beschränken sich auf die sogenannten “Häufig verwendet” Funktionen. PDF-Seiten aus mehreren Dokumenten zusammensetzen, einzelne Seiten rausschneiden und alle Seiten neu sortieren, konnte mein bisheriges lokal Werkzeug auch schon. Als lokale Anwendung sogar ein bisschen eleganter als ein Online-Tool.

Was jetzt neu und mit den PDF24 Tools viel einfacher geht, ist … – Texte in ein bestehendes PDF-Dokument einfügen (wie PostIts aufkleben), – eingescannte Unterschriften auf einem PDF-Dokument plazieren, – PDF mit einem Passwort schützen (verschlüsseln), – PDF-Dokumente komprimieren, – mehrere Dokumente übereinanderlegen (hatte ich noch gar nicht) – und vieles mehr.

Einer meiner Standard-Anwendungsfälle ist simpel. Ich bekomme ein Angebot per Mail zugesandt und … – packe den Text “Auftrag erteilt” auf den Briefkopf, – setze Datum und meine eingescannte Unterschrift darunter – und schicke das Ergebnis an den Dienstleister zurück. Der freut sich, denn er kann sich eine unterschriebene Auftragsbestätigung ausdrucken. Zwar auch nicht 100% rechtsicher, aber ausgedruckt genao so wertvoll wie ein Telefax.

Ein bisschen Kritik verträgt auch das beste Werkzeug

  • Viele Funktionen überlappen sich. So kann ich mit PDF bearbeiten Texte, Formen und Bilder einfügen und habe einen Textmarker-artigen Zeichenstift. Mit der Funktion PDF unterschreiben kann ich Texte, Bilder und Unterschriften (als Bild) einfügen, wobei Unterschriftsbilder im Browser gespeichert bleiben, auch über das Sessionende hinaus. Praktisch aber nicht ganz risikolos.
  • Nach Durchführen einer Funktion kann man gleich die nächste PDF-Funktion benutzen, z.B. 'PDF komprimieren' nach 'PDF zusammenführen`. Aber es gibt ist immer nur eine begrenzte Auswahl der Funktionen, die das Tool gerade für sinnvoll hält. Wenn's nicht passt, muss man halt das Zwischenergebnisherunterladen und wieder neu hochladen.
  • Die Funktionsvielfalt erinnert eine wenig an die klassischen Chinarestaurants des vorigen Jahrhunderts. Auch hier wird mit wenigen Zutaten (Grundfunktionen) eine große Zahl von Gerichten (PDF-Funktionen) bereitgestellt. Kann man so machen, hat bestimmt auch seine Vorteile für den einen oder anderen Anwender; trifft halt nicht so ganz meinen Geschmack.
  • Zwar gibt es das Ganze auch lokal als PDF24 Creator aber leider nur für die Windows Plattform. Experimente mit Wine verbieten sich, da dass Online-Tool so praktisch und einfach ist.

Fazit

Das PDF24 Tool ist eine echte Arbeitserleichterung für jeden, der viel mit PDF Dokumenten zu tun hat. Es ist auch für Gelegenheitsanwender geeignet, da die Bedienung kinderleicht und intuitiv ist. Und dass man für jeden Anwendungsfall einen eigenen Button hat, mag bei seltener Benutzung sogar ein Vorteil sein. Und das Ganze wird kostenlos angeboten, besser geht's eigentlich nicht.

Daher ⭐⭐⭐⭐⭐

 
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from Software-Werkzeuge

In diesem Blog veröffentliche ich meine Erfahrungen mit diversen Software-Lösungen. Ich bin regelmäßig am Ausprobieren neuer Software-Lösungen – online, wie offline – welche mir neue Dinge auf den Computern und Smartphones ermöglichen. Oder auch laufende Arbeiten vereinfachen.

Meine Auswahl ist subjektiv, persönlich und von meinen aktuellen Anforderungen bestimmt. Oder manchmal auch von zufälligen Begegnungen mit nützlichen IT-Lösungen im Internet.

Folgende Randbedingungen kommen bei mir vor: – meine Desktop-Computer laufen alle mit Linux, üblicherweise mit dem aktuellen Ubuntu LTS. – Die Umstellung meines privaten Desktops von Windows erfolgte auf das damals aktuelle Ubuntu 08.04. Und ich bin dabei geblieben. – Dann habe ich eine ganze Reihe Raspberries im Einsatz. Sie laufen in der Regel auf Raspberry Pi OS. – Meine Smartphones und Tablets laufen alle mit Android. Zur Apple-Welt habe ich nie richtig Zugang gefunden. – Ich bevorzuge OpenSource-Lösungen, ohne dogmatisch darauf zu bestehen. – Früher war ich auch mal Fan von Freeware- und Shareware-Lösung. Mit der zunehmenden Professionalisierung von Lug, Betrug und Abzocke in der IT-Welt kann man solchen Lösungen aber eher nicht mehr vertrauen.

 
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from Cedaras Couch

Sofie Morin : Liebeleien mit Wuchsformen.

Eine translibidinöse Pflanzenkunde

Ein schmaler Gedichtband von 81 Seiten, erschienen 2024 bei Edition Arthof und enthält Illustrationen des Autors Heinrich Steinfest.

Entdeckt hatte ich dies bei der Buchmesse letztes Jahr, als Denis Scheck dies empfahl und meinte die Illustrationen seinen besonders erwähnenswert. (Sind sie auch, ungewöhnliche Bilder, aber gut.)

Die Autorin ist von Haus aus Biologin und Philosophin und für ihre Gedichte hatte sie eine eigenen Grammatik entwickelt, die sie auch am Anfang des Buches beschreibt. Die ungewöhnlichen Gedichte lassen sich aber auch so herunterlesen.

Dieses Buch war für mich etwas ungewöhnliches, selbst wo im Nachhinein für mich die Feinheiten vielleicht nicht deutlich wurden. Einfach mal was anderes lesen.

 
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